Le service juridique de la CMA à votre écoute

Dès le mois de février, Alexandre Bunzli a compris que la situation allait rapidement devenir catastrophique pour son entreprise.

Premier coup dur pour le gérant d’Enjoy Events, à Ingersheim, quand le Salon de l’auto de Genève, alors en plein montage, est annulé.

Spécialisée dans la conception et le montage de stands d’exposition, la société (comme tout le reste du secteur événementiel) subit la crise de plein fouet. « Tout s’est arrêté, il n’y a plus d’activité. On a des annulations jusqu’en avril-mai 2021. »

Dès lors, les problèmes s’accumulent pour cette petite entreprise fondée en 2008.

Avec ses 13 salariés mis au chômage partiel, Enjoy Events a voulu solliciter les aides de l’État. « Mais on a eu pas mal de difficultés », explique Alexandre Bunzli.

Alors qu’il pensait pouvoir bénéficier d’un PGE "saison" (des prêts garantis par l’État réservés aux secteurs du tourisme, de l’hôtellerie, de la restauration, de l’événementiel, du sport, du loisir et de la culture), il découvre que le code APE de son entreprise ne le rendait pas éligible au dispositif.

Une réponse réactive et efficace

« On ne savait plus vers qui se tourner. On a frappé à toutes les portes et c’est la CMA qui a été la plus réactive, et la plus pro. » 

Le service juridique a rapidement pris le dossier en main pour résoudre le problème, avec une efficacité qui a impressionné le chef d’entreprise. 

« Ils ont répondu du tac au tac, en engageant des démarches tout en nous informant sur le cadre législatif. » Très vite, la situation s’est dénouée.

« Ils ont trouvé un contact à la Région pour faire remonter notre problème. Ils m’ont également conseillé de changer mon code APE auprès de l’Insee. » 

Une démarche qui a permis à Enjoy Events d’entrer dans la catégorie "activités de soutien au spectacle vivant" et de bénéficier du fameux PGE "saison".

L’importance du soutien humain

Mais, au-delà de l’aspect juridique, c’est aussi le soutien humain apporté par les collaborateurs de la CMA qui a marqué Alexandre Bunzli.

« On sentait qu’ils étaient touchés par notre situation, ils avaient vraiment à cœur de nous aider. » 

Une implication qui ne s’est pas arrêtée une fois le problème réglé. « Ils nous ont apporté des solutions même quand on n’en faisait pas la demande. Il y a un vrai suivi derrière. Pour nous, c’est du luxe. » Un suivi dont Alexandre Bunzli pourrait bien avoir encore besoin : avec le nouveau confinement, les choses risquent de ne pas s’arranger de sitôt pour sa  société. 

« On a perdu 95 % de notre chiffre d’affaires, pour ne pas dire 100 %. Dans l’événementiel, tout le monde ne passera pas le cap. Nous essayons de nous réinventer en digitalisant nos services et en faisant de la recherche et du développement. »

En cas de nouvelle difficulté, cette fois-ci, il saura qu'il peut se tourner directement vers la CMA.

De mars à juillet 2020, la plateforme d’accueil téléphonique de la CMA a traité plus de 20 000 appels téléphoniques, tandis que la cellule Covid a prodigué plus de 2 300 conseils, pour quelque 1 700 heures d’intervention.

Son activité au cours du deuxième confinement a été tout aussi intense avec plus de 1 800 contacts et près de 1 000 conseils de toutes natures (juridique, aides économiques...) et près de 780 spécifiquement pour des conseils numériques.

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