À la rentrée, je m’y mets !
Qui veut moissonner doit semer
Lydia Travier : « Je me suis formée à plusieurs méthodes de massages, en fonction de mes disponibilités. Si parfois j’ai dû fermer mon entreprise, je ne le regrette pas car cela m’a permis d’enrichir ma carte de services. »
Le temps consacré à « semer » s’en verra compensé : repenser sa stratégie commerciale pour accroître son chiffre d’affaires, apprendre à manager ses équipes pour gagner en productivité...
L’argument financier fait mouche, d’autant plus que des prises en charge existent pour les chefs d’entreprise et les salariés.
Pour bâtir, il faut creuser profond
L.T : « À la création de l’entreprise, la formation en gestion commerciale et financière nous a été très utile. Mon mari, alors conjoint collaborateur, y a assisté et cela nous a permis de bien démarrer. »
Les journées des artisans sont bien remplies alors qu’ils jonglent entre la casquette de gestionnaire et la casquette « métier ».
Autant la seconde s’acquiert par la pratique, autant la première fonction doit être rapidement opérationnelle.
Les packs « jeune entreprise » sont ainsi proposés à cette intention. Et comme on ne peut pas toujours être « au four et au moulin », pourquoi ne pas former un de ses salariés pour lui déléguer certaines missions ?
On n’est jamais mieux servi que par soi-même
Hassena Azzegagh : « En tant qu’artisane je tiens beaucoup à mon autonomie et ces formations m’offrent cette indépendance tout en faisant des économies !
Quelles compétences acquérir pour améliorer le rendement mon entreprise ? » Pour certains, il pourra s’agir d’une lacune à combler en bureautique, pour d’autres l’apprentissage de l’anglais pour se lancer à l’export.
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Suivant le vent, il faut mettre la voile
H. A : « Je tenais à prendre en main ma visibilité numérique. À la suite de ma dernière formation, je viens de mettre en ligne le site Internet que j’ai créé. »
On l’a vu, la crise Covid a bousculé les acquis dans tous les secteurs économiques. Des solutions temporaires ont été trouvées par les artisans mais pour garantir la pérennité de l’activité, il devient urgent d’adopter les bons réflexes notamment grâce aux formations « Reprise ».
La percée du numérique dans les modes de consommation incite également les artisans à s’y positionner.
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