Au cœur du parc naturel de la Montagne de Reims, dans le village de
La Neuville-aux-Larris, dans son atelier abrité par l’extension de sa maison construite par son mari, Corinne déploie ses talents de couturière, brodeuse, maroquinière. À 53 ans, elle est à la tête de l’entreprise Coco création depuis dix ans et propose des créations réalisées sur commande, ou à partir d’inspirations de maisons de haute couture. Pour faire face au contexte sanitaire et au confinement, elle a rejoint la plateforme de jacheteenlocal.fr
Dernières actualités
Quelles sont les conséquences de la crise sanitaire et économique liée à la Covid sur le marché de la transmission/reprise d’entreprise ? Retour sur la conférence et les conseils pratiques de Marc Chamorel, directeur de la rédaction du magazine « Reprendre & Transmettre ».
Qualiopi est le nom donné par le ministère du Travail au Référentiel national qualité (RNQ), un ensemble de sept critères auxquels doivent répondre les organismes proposant des actions de formation, dont les chambres de métiers.
Initiée par la chambre de métiers et de l’artisanat des Vosges, et reprise au niveau du Grand Est, « J’expose un artisan d’art » consiste en la création de tandems artisan et artisan d’art pour la présentation de créations uniques ou en très petites séries dans de nouveaux lieux.
Prononcés à l’occasion de l’assemblée générale de novembre de la chambre de métiers et de l’artisanat de la Marne, retour sur les propos du président Michel Boulant et sur son bilan de l’année 2020.
En France, un tiers de la production totale de denrées alimentaires est jeté. À cela, il faut ajouter les ressources utilisées pour les produire : terres agricoles, travail, eau, énergie... D’ici 2025, la loi imposera une réduction de 50 % de ce gaspillage.
On connaît bien l’épandage de fumiers de cheval ou de lisier pour fertiliser les sols,
on connaît moins l’utilisation des matières organiques humaines pour amender les terres. On est tout aussi surpris de découvrir qu’une entreprise artisanale du bâtiment développe une telle activité.
Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas. Alors pourquoi jeter lorsque l’on peut éviter la poubelle et en plus satisfaire des besoins sur son territoire. C’est exactement la philosophie qui anime Alex Despicy.
Difficile de se faire un nom dans le monde très prisé de la restauration du patrimoine. Les savoir-faire et les chantiers sont encore plus exigeants. Au début, l’entreprise créée par Lucas Mainferme et ses deux associés n’accédait qu’à des chantiers de rénovation.
Alors que la tempête faisait rage dans la vallée de la Saulx en 2015, l’avenir de Magalie et Mickaël Toussenel s’assombrissait. Ils avaient tous deux démissionné de leur travail pour réaliser leur projet.